(nano)Matériaux pour l'Energie Responsable équipe : Stéphane Pailhès
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Le développement des énergies alternatives nécessite des efforts de la recherche fondamentale pour identifier et comprendre de nouveaux mécanismes physiques permettant de découvrir de nouveaux matériaux. Le déploiement de ces énergies nécessite d’intégrer en amont les critères de coûts, d’abondance, de toxicité et de recyclabilité. De gros efforts sont faits par le monde sur ces matériaux pour la conversion de l’énergie, le stockage de l’hydrogène où pour le développement durable. |
Le groupe « énergie » est un groupe multidisciplinaire intégrant des chimistes, des physiciens et des théoriciens ayant pour vocation une recherche amont en développant des outils, des modèles et des protocoles pour la synthèse de nouveaux matériaux et nanomatériaux plus ou moins complexe dont les applications portent à la fois dans le domaine de l’énergie que de la biophysique, biophysique, l’optique, la nano-mécatronique . Ces nouveaux matériaux pourraient jouer un rôle majeur dans la révolution énergétique nécessaire en jouant sur plusieurs fronts, que ce soit sur la production d'énergies renouvelables, leur stockage ou en contribuant dans la réduction de la consommation énergétique. Ces matériaux peuvent être d’une grande complexité au niveau chimique (matériaux pour la thermoélectricité par exemple) ou bien les plus élémentaires comme le carbone. Celui-ci, un des éléments le plus abondants sur la planète et aussi l’un des plus versatiles chimiquement, offre d'innombrables possibilités pour relever les défis énergétiques du XXI siècle. L'extraction des énergies fossiles, à base de carbone, a été à la base d'un paradigme énergétique propre au XX siècle fortement mis en question par l'impact climatique des émissions de CO2. La rupture avec ce modèle énergétique pourrait aussi être à base de carbone, mais avec un point de départ bien différent. Pour la partie expérimentale le groupe s’appuie sur deux plateaux de l’institut Lumière Matière PLECE@ILMTech et PLYRA@ILMTech. Pour la partie théorique, outre l’accès à des moyens de calcul en dehors du laboratoire, l’équipe dispose d’un cluster performant . |
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